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Ginkgo Biloba: un activateur cognitive Article: Ginkgo Biloba: un activateur Psychological Science cognitive DANS L'INTÉRÊT PUBLIC 2 Copyright 2002 American Psychological SocietyVOL. 3, NO. 1, mai 2002 GINKGO BILOBA A Cognitive Enhancer: Paul E. Or, 1 Larry Cahill, 2 et Gary L. Wenk 3 1 Département de psychologie, Université de l'Illinois à Urbana-Champaign, Champaign, Illinois Comportement, Centre pour l'Neurobiology of Learning et de la mémoire, Université de Californie, Irvine, en Californie et en psychologie, Arizona Research Laboratories pour Neural Systems, Mémoire et vieillissement, Université d'Arizona, Tucson, Arizona 2 Département de neurobiologie et 3 Département de traitement alter - Résumé pour améliorer les fonctions cognitives. Comme la plupart des traitements à base de plantes, l'utilisation de ginkgo est mal réglementé par des organismes gouvernementaux, sur la base de l'une ou l'efficacité de ses risques pour la santé. Cet article examine les données expérimentales disponibles concernant l'efficacité, les actions neurobiologiques et risques pour la santé. Les résultats obtenus dans les études de l'homme In - souvent des manifestations Clude de l'amélioration cognitive plutôt doux. L'interprétation de ces résultats est compliquée par les résultats quelque peu contradictoires, par des conceptions expérimentales qui ne permettent pas l'identification des fonctions cognitives sensibles à l'influence de ginkgo, et par le manque de comparaisons directes avec d'autres traitements. Le nombre de rapports examinés par des pairs des études chez les animaux non humains est étonnamment faible. Dans ce petit jeu, les résultats révèlent des effets comportementaux légers qui pourraient être attribuables à des actions sur les fonctions cognitives. Cependant, ces expériences chez les rongeurs, comme ceux de l'homme, ne comportent pas l'utilisation de modèles pour évaluer les effets sur ginkgos particuliers attributs cognitifs, et généralement ne pas inclure des comparaisons directes avec d'autres traitements. L'interprétation des résultats est encore compliquée par la preuve obtenue dans le Ginkgo biloba est une plante souvent utilisée comme une étude Al - des humains et des rats, montrant qu'une seule admi - nistration du traitement améliore les performances sur les mesures cognitives. Si ginkgo a des effets sur la cognition, il devrait y avoir des effets évidents sur les processus biologiques. les études neurobiologiques ont largement examiné les effets du ginkgo chronique ad - ministration, reflétant la conception la plus courante dans les études comportementales. Cependant, l'addition des résultats que seule l'administration de ginkgo peut influer sur le comportement dirige les enquêtes biologiques à des actions à court terme du traitement. effets Biological de ginkgo comprennent la vasodilatation, la protection des neurones contre le stress oxydatif, et les actions médiées par des effets via les neurotransmetteurs. Les effets indésirables de la consommation de ginkgo ont été observés mais sont relativement rares. Collectivement, la littérature comportementale revue ne peut pas être utilisé de façon concluante à documenter ou à réfuter l'efficacité du ginkgo dans l'amélioration des fonctions cognitives. Au mieux, les effets semblent assez modestes. En particulier, il est douteux que les effets du ginkgo, le cas échéant, sont égaux à ceux obtenus par l'administration d'inhibiteurs de l'acétylcholinestérase, entendant une histoire excitante, ou l'ingestion de glucose. Tout comme il semble aujourd'hui être un gène pour chaque maladie, et pour chaque construction psychologique, il semble y avoir une herbe pour chaque maladie. L'utilisation de compléments alimentaires et de produits natu - relles pour améliorer les fonctions psychologiques est très répandue dans le monde entier. Dans la plupart des cas, l'utilisation de compléments alimentaires pour ments traiter les troubles psychologiques, ou pour augmenter les fonctions normales, repose beaucoup plus sur le folklore que sur les résultats expérimentaux. Aux États-Unis, il est facile à utiliser de tels traitements parce que le gouvernement fédéral les réglemente relativement faible, par rapport aux produits pharmaceutiques. Publicité et étiquetage revendications sont surveillées, mais il reste de nombreuses sources qui pro - mouvoir l'utilisation de traitements à base de plantes pour un large éventail de maladies. L'utilisation des consommateurs généralisée de suppléments alimentaires pour répondre aux préoccupations psychologiques et d'autres mérite plus d'attention à l'efficacité de ces traitements et à leurs risques pour la santé. Même si elles ne causent pas de problèmes médicaux, ils ont réelle costsmoney, le temps, et d'éviter d'autres sources de traitement. Il est dans ce contexte que le présent rapport examine les bases expérimentales pour l'utilisation de ginkgo comme un traitement pour amé - liorer les fonctions cognitives. L'utilisation de ginkgo pour des poses de PUR - biologiques et psychologiques, y compris pour améliorer la vigilance, peut être retracée depuis des siècles dans la médecine traditionnelle chinoise. Aujourd'hui, le ginkgo est peut - être le traitement à base de plantes sélectionnées spécifiquement le plus largement utilisé pour augmenter les fonctions cognitives. L'utilisation de ginkgo comme exhausteur cognitive est particulièrement répandue en Europe. Au cours des dernières années, des extraits de ginkgo feuilles ont reçu l'approbation de la Bundesgesundheit Association allemande pour le traitement de la démence. Aux États-Unis, l'Institut national sur le vieillissement est actuelle - ment soutenir un essai clinique pour évaluer l'efficacité du ginkgo dans le traitement des symptômes de la maladie d'Alzheimer. Bien que les résultats des essais cliniques seront probablement fournir les meilleures données à partir de laquelle pour déterminer si le ginkgo affecte le déclin cognitif dans la démence, l'objet du présent rapport est d'évaluer les éléments de preuve pour et contre l'utilité de Adresse de correspondance Paul E. Or, Département de psychologie, Université de l'Illinois à Urbana-Champaign, 603 East St. Daniel Champaign, IL 61820 e-mail: pgolduiuc. edu. SCIENCE PSYCHOLOGIQUE AU PUBLIC INTÉRÊTS Paul E. Or, Larry Cahill, et Gary L. Wenk VOL. 3, NO. 1 MAI 2002 3 ginkgo dans l'amélioration des fonctions cognitives et autres cérébrales chez les populations en bonne santé, ainsi que douteux,. Phytobiologie L'arbre ginkgo (cheveux ou d'un arbre kew, est le seul membre vivant de la famille Ginkgoaceae. Fossiles des arbres ont été datés remontent aussi loin que 250 millions d'années. L'arbre ginkgo peut être l'arbre existant plus long séjour, et a été appelé par Darwin comme un fossile vivant (Major, 1967). Il semble avoir une résistance curieusement forte à un large éventail d'insectes nuisibles et les champignons, ce qui contribue probablement à sa longévité. L'arbre ginkgo est indigène à la Corée, la Chine et le Japon . Il est populaire pour le revêtement des rues et des parcs, bien que ses graines sont signalés à dégager une odeur fétide à maturité. l'arbre peut atteindre 40 m de hauteur et peut vivre plus de 1000 ans. Il fleurit pour la première fois il est âgé d'environ 25 ans. Les graines, souvent incorrectement appelés fruits, deviennent charnus et plumlike, avec une couleur verte ou jaune clair. Ces graines sont habituellement d'environ 3 cm de diamètre et contiennent une noix comestible à deux tranchants. une large variété de composés est extraite des graines, les feuilles et l'écorce. Les feuilles sont en forme d'éventail, avec des nervures bifurquées et glabre. extrait de Ginkgo biloba est un concentré obtenu à partir des feuilles fraîches ou séchées dans une solution eau-acétone. Une dose quotidienne typique, et celui utilisé dans la plupart des expériences décrites dans ce rapport (par exemple, van Dongen, van Rossum, Kessels, Sielhorst, moins d'attention a été accordée à d'autres domaines cognitifs, tels que les processus d'attention. De plus, dû au fait que la plupart les expériences ont utilisé ministration chronique ou d'une dose unique de ginkgo ad - avant de tester l'efficacité du médicament pour améliorer les fonctions cognitives, il est difficile d'identifier le locus cognitif des effets démontrés. l'utilisation d'une conception de post-formation dans laquelle le le traitement est administré après la formation, ainsi que des démonstrations de effets dépendant du temps sur la mémoire, se pencher sur cette question. Lorsque les traitements sont administrés avant la formation, soit dans des expériences de traitement chroniques ou mono, des améliorations sur les mesures de l'apprentissage et de la mémoire pourrait refléter les influences de ginkgo sur les fonctions sensorimo - tor, attention, ou la motivation plutôt que sur le stockage de la mémoire en soi. en outre, la preuve, nous discutons plus tard suggère que le ginkgo peut être un traitement qui peut réduire l'anxiété chez les rongeurs. Effets sur des fonctions telles que l'anxiété sont également susceptibles de se refléter secondairement sur les mesures d'apprentissage et de mémoire. Il semble évident que les chercheurs doivent accorder plus d'attention à des tests de sélection qui font appel à des aspects différents et relativement spécifiques de la cognition, ainsi que l'utilisation des modèles expérimentaux tels que les procédures de formation post pour évaluer les effets rétrogrades de ginkgo sur la mémoire. Les études sur les patients atteints de déficience cognitive L'écrasante majorité des rapports publiés de ginkgos effets sur la cognition ont patients impliqués classés comme ayant une légère à modérée déficience cognitive. En général, ces études ont constaté de légères augmentations, mais statistiquement significatives de performance sur divers tests standardisés de la fonction cognitive après traitement chronique avec ginkgo par rapport à un placebo. Les rapports publiés varient considérablement en termes de questions cruciales telles que le pouvoir et le contrôle sur les conditions expérimentales statistiques, bien que les doses utilisées ont été similaires. Récemment, Oken et al. (1998) ont fourni une méta-analyse minutieuse de cette littérature. Ils ont évalué les études répondant un ensemble conser - vateur de critères, y compris la caractérisation suffisante du diagnostic de la maladie d'Alzheimer, l'utilisation d'un ginkgo normalisé SCIENCE PSYCHOLOGIQUE AU PUBLIC INTÉRÊTS Ginkgo Biloba: A Cognitive Enhancer 4 VOL. 3, NO. 1, mai 2002 extrait, et une conception à double insu contrôlée par placebo. Oken et al. effectué une méta-analyse de la taille de l'effet sur les résultats de la 4 studiesof plus de 50 études consideredthat répondaient à ces critères. Cette analyse a révélé une fet ef - globale très significative de ginkgo par rapport au placebo. (Plus précisément, l'analyse a révélé que la taille de l'effet moyen des 4 études était égale à environ la moitié de l'écart-type). Chacune de ces études a rapporté une amélioration des performances sur les différents tests cognitifs standardisés entre patients Alzheimer qui re - çues ginkgo comparés avec ceux qui ont reçu un placebo. Des améliorations étaient évidentes sur les tests impliquant diverses capacités cognitives telles que l'attention, la mémoire à court terme, et le temps de réaction choix. Oken et al. en outre noté que la taille de l'effet moyenne pour ginkgo déterminée par cette analyse est comparable à celui précédemment rapporté pour le donepezil de drogue, qui est actuelle - ment le médicament de choix pour le traitement de la maladie d'Alzheimer. Donépézil agit en améliorant la fonction des neurones acétylcholine dans le cerveau en inhibant le catabolisme de l'acétylcholine (par exemple, il est un inhibiteur de l'acétylcholinestérase). Malgré ces résultats encourageants, apparemment, un autre cent re, grande, et le procès de l'EGb 761 (parrainé par le fabricant) impliquant des patients avec un stade léger ou modéré de la démence bien contrôlée signalé aucun effet ingful systématique et cliniquement sens de ginkgo sur tout des mesures cognitives em - ployés (van Dongen et al., 2000, p. 1188). Ainsi, les effets cognitifs bénéfiques de ginkgo sur la fonction cognitive dans modérément de - patients en œuvre restent possibles, mais non prouvée. Une question des préoccupations cruciales si l'allié de traitement de ginkgo améliore les capacités cognitives dans la maladie d'Alzheimer, ou Au lieu ralentit la détérioration des capacités cognitives. Cette question est importante, car on ne sait pas si un médicament qui prolonge simplement ralentit, et par conséquent, la détérioration cognitive chez les mala - dies comme la maladie d'Alzheimer est utile ou nuisible à un pa - tients qualité de vie. En outre, la prolongation de la détérioration est bien évidemment un problème avec des conséquences sociales et économiques importantes. En ce qui concerne le ginkgo, des réponses différentes à cette question clé peut venir même d'une seule étude. Par exemple, dans une étude à grande et bien contrôlée par Le Bars et al. (1997 inclus dans la méta-analyse de Oken et al., 1998), le traitement de ginkgo Soit le ralenti la détérioration, l'amélioration de la performance cognitive, ou encore n'a eu aucun effet en fonction de l'évaluation cognitive utilisée. Selon une échelle d'évaluation cognitive standardisée (l'évaluation de la maladie d'Alzheimer ScaleCognitive Subscale Fig. 1a), les patients Alzheimer traités par placebo lentement dégradée au cours de la durée de l'étude, tandis que les performances des patients traités avec le ginkgo est resté stable. Selon une deuxième échelle d'évaluation (l'évaluation gériatrique par les proches Classement instrument Fig. 1b), les sujets de ginkgo traités améliorés d'environ la même quantité que les sujets traités par placebo d'abîmer les est filmée. Bien qu'à ce jour la plupart des études de l'effet de ginkgos sur des sujets déficients relativement cognitifs ont utilisé un traitement chronique (généralement 120240 mg / jour pendant plusieurs mois), au moins une étude a rapporté des effets d'un traitement unique avec ginkgo. Allain Fig. 1. Effets de ginkgo (EGb) sur deux mesures cognitives chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Les changements de sortie vient des individus donnés EGb et le placebo ont été comparés à l'aide de la maladie d'Alzheimer évaluation ScaleCognitive Subscale (ADAS-Cog a) et l'évaluation gériatrique par les proches Classement Instrument (GERRI b). Notez que les numéros inférieurs sur l'ordonnée se réfèrent à une meilleure performance. Les deux mesures montrent une détérioration de la performance chez les personnes traitées par placebo. Toutefois, l'évaluation ADAS-Cog indique le traitement EGb a donné lieu à des scores stabilisés au cours de la période d'essai de 52 semaines, mais l'évaluation de GERRI indique le traitement EGb a donné lieu à des scores améliorés pendant le test pé - riode. (Adapté de Le Bars et al. 1997) SCIENCE PSYCHOLOGIQUE AU PUBLIC INTÉRÊTS Paul E. Or, Larry Cahill, et Gary L. Wenk VOL. 3, NO. 1 MAI 2002 5 et al. (1993) ont examiné les effets de assez élevé (320 ou 600 mg), des doses uniques de ginkgo sur la performance dans une tâche impliquant des stimuli brièvement présentés et le traitement rapide de l'information. La tâche consistait à plusieurs reprises des présentations, de plus en plus rapides de courtes listes de mots ou de dessins, avec un test immédiat en franchise de rappel donné après chaque liste. Dans une conception intra-sujets, les performances de 18 sujets âgés en bonne santé décrit comme ayant une légère, altération de la mémoire liée à l'âge a été examinée 1 h après cebo pla - ou le traitement de ginkgo. La capacité des sujets à rappeler matériel présenté rapidement immédiatement après que le matériau a été présenté a été augmenté de façon significative après l'ingestion de ginkgo. La capacité d'une dose unique de ginkgo pour améliorer la performance sur cette tâche ouvre la possibilité que ce soit à court terme, plutôt qu'à long terme, les actions biologiques qui fournissent les bases pour des effets ginkgo a sur la cognition. Cette question est très importante pour la compréhension des mécanismes par lesquels le ginkgo pourrait agir sur les fonctions cognitives et est également très important dans défi - ment les conditions dans lesquelles le ginkgo pourrait être efficace. Les effets des traitements simples avec ginkgo méritent beaucoup plus at - tention qu'ils ont reçu. Il convient de noter que le ginkgo a également été rapportée pour des performances amé - pair. Par exemple, dans un petit (31 patients), pla - étude de cebo contrôlée, Rai, Shovlin et Wesnes (1991) a constaté que, après 24 semaines de traitement, les patients qui ont reçu le ginkgo ont été altérées dans une tâche chiffres-rappel par rapport aux patients qui a reçu un placebo. résultats négatifs pour le ginkgo, comme pour les autres traitements sont probablement sous-représentés dans la littérature. Des rapports comme celui par Rai et al. souligner la nécessité d'être prudent lors de l'évaluation des effets cognitifs de toute drogue, en particulier, l'un, comme le ginkgo, dont les effets bénéfiques peuvent être souhaités par les patients ou les enquêteurs a priori. Effets de Ginkgo sur Cognition chez les jeunes, sujets sains Une petite étude (8 sujets) ont évalué les effets de plusieurs doses de l'extrait de ginkgo EGb 761 sur la performance sur une batterie de tests, y compris un test de la capacité de détenir des informations en bref mémoire - terme. Hindmarch (1986) a indiqué que la plus forte dose testée (600 mg) de meilleures performances que dans le test de la mémoire à court terme Sternberg, conduisant l'auteur suggèrent que ginkgos effets sont spécifiques pour les processus de mémoire. En outre, C. Stough (communication personnelle, le 10 mai, 2000) con - caréné deux enquêtes portant sur environ 80 sujets recevant un traitement ginkgo chronique. Bien que ces études ne sont pas encore été signalés dans des revues évaluées par des pairs, le traitement apparemment produit amélioré de manière significative la performance sur quelques-unes des tests de la fonction cognitive examinés. Deux rapports récents d'un laboratoire (Kennedy, Scholey, pas d'autres doses ont été testées. Les résultats ont montré que les souris prétraitées avec ginkgo pendant 4 à 8 semaines ont appris la tâche un peu plus rapidement que ne les souris témoins. Bien qu'il n'y avait pas de différence liée au traitement apport alimentaire durant SCIENCE PSYCHOLOGIQUE aU PUBLIC INTÉRÊTS Ginkgo Biloba:.. A Enhancer cognitive 6 VOL 3, N ° 1, mai 2002 tion de la période de pré-traitement, changement de poids n'a pas été noté, et les réponses différentielles possibles à la restriction alimentaire imposée avant la formation étaient pas testé. Ainsi, il est difficile de déterminer si des changements dans la motivation, ou dans les fonctions sensori, pourraient avoir contribué aux effets sur l'acquisition de la tâche. Même si une interprétation claire des bases de ces résultats est pas possible, cela reste l'un des les meilleures démonstrations de ginkgos effets sur l'apprentissage et de la mémoire et offre la base de gest StrongARM d'expérimentation supplémentaire. Dans une expérience avec des rats âgés (JC hiver, 1998) qui a été soumis à un grand nombre des mêmes préoccupations, EGb 761 n'a pas réussi à en - Hance de manière significative les performances sur une variante d'un bras radial tâche de labyrinthe à huit bras dans lequel les rats ont reçu une formation continue avec un nombre différent de bras appâtés, mais ont fait améliorer la performance sur une seconde variante de la formation dans un huit-bras ra - dial labyrinthe dans lequel les rats ont été tenus de faire des réponses différées non-appariement à échantillon. Dans cette dernière tâche, quatre bras du labyrinthe étaient ouverts et appâtés et les quatre autres armes ont été fermés au cours de la première phase de chaque séance quotidienne. Puis, après un délai de 30 minutes, tous les bras étaient ouverts, et seuls les bras précédemment fermés ont été appâtés. Ainsi, pour une meilleure performance, les rats entreraient seuls les bras non visités au cours de la première phase de formation ce jour-là et entreraient chaque bras nouvellement ouvert une seule fois. Les rats traités avec l'EGb 761 ont montré moins rétroactifs (entrées dans les bras ouverts dans la première phase) et proactives (deuxièmes entrées dans les bras maintenant ouverts) erreurs. Dans une étude récente utilisant une approche prometteuse pour la question des ginkgos effets sur l'apprentissage et la mémoire, Wirth, Stemmeline, Will, Christen et Di Scala (2000) a constaté que le ginkgo laisser pénétrer la performance dérablement chez les jeunes rats adultes testés sur une tâche de discrimination olfactive . Soit chronique (30 jours) ou aiguë (10 min avant l'entraînement) l'administration de ginkgo améliore la reconnaissance à court terme d'un roman contre l'odeur familière. Similaires, bien que plus modeste, les effets ont également été observés chez les rats âgés. Ces effets semblent être tout à fait fiable, et de plus amples recherches étendre cette approche est justifiée. Par exemple, les auteurs ont noté, l'expérience ne permet pas l'attribution des effets à soit l'apprentissage et de la mémoire ou d'attention. De même, la possibilité que le ginkgo a modifié la motivation des rats pour explorer de nouveaux stimuli ou sensibilité olfactive modifié doit être évalué. L'efficacité comparable de l'administration chronique et aiguë de ginkgo dans ce test de mémoire à court terme est analogue à celle rapportée chez les humains par Allain et al. (1993). Confirmation que les effets de ginkgo peuvent être attribués à des actions aiguës aura des implications importantes pour le traitement, ainsi que pour comprendre les bases biologiques sous-jacente de ces effets. Une autre expérience a examiné les effets de l'appareil d'un ginkgo, un extrait de ginseng, ou de leur combinaison (Gincosan) sur la mémoire pour plusieurs tâches aversif (Petkov et al., 1993). Les extraits, chacun à trois doses, ont été administrés par voie orale pendant 7 jours, se terminant 1 h avant l'entraînement. Les résultats peuvent mieux être décrits comme robuste erratique. Les effets sur l'apprentissage de shuttlebox étaient grandes pour les doses faibles et élevées chez les jeunes rats. Aucun des doses, cependant, amélioré les jeunes rats d'apprentissage soit dans une étape à travers ou une tâche d'évitement inhibiteur step-down ou dans une tâche unique nager. Dans les expériences mono-traitement avec des rats âgés, avec différentes doses utilisées dans des conditions différentes, ment rehaussement a été vu à une seule dose de chaque médicament. De même, lorsque des combinaisons de médicaments ont été testés, seule une combinaison à dose unique et le médicament est efficace chez les rats âgés. En outre, Petkov et al. n'a pas signalé les mesures de base de la façon dont les traitements ont affecté les seuils rats de choc et les niveaux d'activité, il est donc difficile d'interpréter les résultats. Ginkgo a également été signalé pour améliorer la mémoire pour l'apprentissage passif d'évitement chez les souris âgées (Stoll, Scheuer, Pohl, Hensch, 1999) a examiné les effets du ginkgo sur la formation de labyrinthe en seulement 5 souris, chacun testé sur quatre différents labyrinthes. Que ce soit ou non les souris ont montré SCIENCE PSYCHOLOGIQUE im - DANS LE INTÉRÊT PUBLIC Paul E. Or, Larry Cahill, et Gary L. Wenk VOL. 3, NO. 1, 7 mai 2002 amélio - sous ginkgo ne peut être distingué en raison de différences possibles dans les versions de labyrinthe et l'acquisition de capacités générales d'apprentissage (ensemble à savoir l'apprentissage) à travers des tâches. Il existe d'autres actions comportementales rapportées pour ginkgo qui peuvent avoir une pertinence pour interpréter ses effets sur l'apprentissage et la mémoire. Ginkgo semble réduire le stress chez le rat, une propriété qui est certainement important de tenir compte dans l'évaluation des effets aigus et chroniques de ginkgo sur l'acquisition des tâches d'évitement. Par exemple, plusieurs chercheurs, en utilisant plusieurs modèles différents, ont rapporté que l'administration répétée de ginkgo réduit le stress chez le rat (Chermat, Brochet, DeFeudis, SCIENCE PSYCHOLOGIQUE AU PUBLIC INTÉRÊTS Ginkgo Biloba: A Cognitive Enhancer 8 VOL 3, NO.. 1, mai 2002 Joyeux, Lobstein, Anton, cet effet peut être liée à ginkgos actions PSYCHOLOGIQUE SCIENCE DANS LE INTÉRÊT PUBLIC Paul E. Or, Larry Cahill, et Gary L. Wenk VOL. 3, NO. 1, mai 2002 9 sur cardiovasculaire la fonction et la pression artérielle. Pourtant, l'impression géné - rale est que l'incidence des effets indésirables graves après utilisation du ginkgo est assez faible. en outre, cette incidence peut être réduit davantage si et quand schémas posologiques individuels optimaux pour ginkgo sont établis. CONCLUSIONS est-Ginkgo améliorer les fonctions cognitives Telle est la question clé pour laquelle nous espérions trouver une ré - ponse. En général, les effets rapportés pour le ginkgo sont plutôt petites, le nombre d'expériences est faible, et les expériences sont de qualité inégale. Chez l'homme, le ginkgo peut ralentir le déclin cognitif pendant la démence. Ce serait conforme aux actions présumées de ginkgo comme antioxydant et comme un atténuateur de certaines conséquences du stress chronique. Fait intéressant, toutefois, les deux tests d'effets aigus de ginkgo sur la mémoire, l'un chez l'homme et l'un des rats, suggèrent que ce traitement peut, comme beaucoup d'autres traitements, agir sur les processus cognitifs en cours et non sur les problèmes chroniques. Si les recherches futures confirme que les principaux effets sur la cognition peuvent être observés après traitement aigu, et ne nécessitent pas un traitement chronique, des théories sur les bases biologiques sous-jacents des ginkgos effets devront être limités par ce idence EV-. Malheureusement, la littérature est si faible que des problèmes importants, tels que celui-ci ne peuvent pas être évalués de façon adéquate à ce moment. Est-Ginkgo mieux que d'autres drogues ou Better Than une histoire passionnante ou glucose-Sucré Lemonade Il existe plusieurs traitements connus pour améliorer la fonction cognitive chez les humains et les autres animaux. Pour la plupart des traitements, les manifestations comprennent également les résultats de la mise en valeur dans les individus atteints de démence. Par exemple, le donépézil et d'autres inhibiteurs de l'ECA tylcholinesterase ont des effets robustes sur l'apprentissage et la mémoire chez les rongeurs et modeste si des effets significatifs dans mans hu - plusieurs inhibiteurs de l'acétylcholinestérase ont été approuvés pour le traitement de la maladie d'Alzheimer. Dans une tentative de comparer directement l'efficacité du ginkgo avec acetylcholinest - effacer des inhibiteurs, une méta-analyse effectuée par Oken et al. (1998) ont montré que le degré moyen d'amélioration résultant du traitement de ginkgo est de 10 à 20, une valeur de plus ou moins comparable à l'ampleur de l'amélioration souvent observé dans les essais cliniques avec des inhibiteurs de l'acétylcholinestérase. Chez les rongeurs, une expérience avec une comparaison directe de ginkgo contre les inhibiteurs de la cholinestérase acétyl a clairement montré une plus grande efficacité de ce dernier traitement (Chopin Briley, 1992). Plus de comparaisons directes, chez les humains et les autres animaux, de ginkgo avec d'autres traitements sont nécessaires. Recommandations Nous avons commencé notre étude de la littérature avec scepticisme sain, mais avec un engagement à ne pas préjuger les conclusions. Nous avons trouvé des preuves pour étayer la thèse que le ginkgo améliore les fonctions cognitives, mais plutôt faiblement et avec une variabilité considérable, sous certaines conditions. Cependant, notre impression dominante après avoir vu les études disponibles est qu'il n'y a pas assez d'informations pour dire que le ginkgo ou n'im - pas prouver la cognition. Il y a suffisamment de résultats positifs, peut-être juste assez, pour soutenir notre intérêt à découvrir si le ginkgo fait améliorer la cognition. En plus il y a trop peu d'expériences sur lesquelles fonder des recommandations claires, la plupart des études initiales des avantages de Ginkgo biloba ont SCIENCE PSYCHOLOGIQUE AU PUBLIC INTÉRÊTS Ginkgo Biloba: A Enhancer 10 VOL Cognitive. 3, NO. 1, MAI 2002 impliqués trop peu de sujets. De nombreuses années d'expérience avec les re - cherches de nouveaux médicaments ont démontré que les résultats initiaux positifs provenant d'études portant sur un petit nombre de sujets ont tendance à disparaître lorsque les médicaments sont testés sur un plus grand nombre de sujets de diverses populations. RÉFÉRENCES Ahlemeyer, B. Mwes, A. Lacour, M. (Eds.). (1992). extrait loba (EGb 761) sur le système nerveux central Cohen-Salmon, C. Venault, P. Martin, B. Raffalli-Sebille, M. J. Barkats, M., Clostre, F. Pardon, M. C. Christen, Y. J. B. Overmier (Eds.), De la santé: faire progresser le bien-être humain grâce à la science du comportement 304). Washington, DC: American Psychological Association. European Journal of Pharmacology, Clinical Therapeutics:, 549558. L'Inter - fonda - 9, 169174., 4, 266273., 26, 707. actuel, 21, 294299., 47, 397405. Pharmacology, Biochemistry, 61, 126129., 151, 416423. L'américain, 3, 8, 4348., 278, 1327 Neurobiology of Aging, 14, Pharmacological Archives of Neurology Research, 712, 349352. SCIENCE PSYCHOLOGIQUE AU PUBLIC INTÉRÊTS Paul E. Or, Larry Cahill, et VOL Gary L. Wenk. 3, NO. 1, mai 2002 11 légère à modérée troubles de la mémoire. Opinions actuelles de recherche médicale, 12, 350355. Ramassamy, C. Christen, Y. Clostre, F. Cheng, X. F. (2000). L'effet protecteur de bilobalide sur la bêta-amyloïde-peptide 25-35 induite par les cellules PC12 cytotoxicité. Acta Pharmacologica Sinica, 21, 7579.
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